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Liste des films organisé par le nom du cinéaste P à R

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  • David Perlov

    David Perlov (né le 9 juin 1930 à Rio de Janeiro, Brésil et mort le 13 décembre 2003 à Tel Aviv, Israël) était un cinéaste, écrivain et cinématograph israelien. Il est considéré comme le fondateur du cinéma israélien et a recu une reconnaissance internationale pour ses essais cinématographiques et particulièrement, son journal filmé.

    Il a passé le début de son enfance à Belo Horizonte, puis, à l’âge de dix ans, il déménage à Sao Paulo.

    Il réalise un film à Paris en 1957, intitulé ‘Tante chinoise’ et qui dure 17 minutes. Dans ce film, Perlov incorpore des dessins caustiques sur la bourgeoisie provinciale d’une jeune fille de douze ans de 1890.

    Un an plus tard, en 1958, il émigre en Israel et tourne l’essai documentaire de 33 minutes ‘A Jerusalem’, un des incontournables de l’Histoire du cinéma israélien.

    Suite à la réalisation de deux drames académiques, ses nouveaux projets sont refusés par la bureaucratie idéologique. Il commence a utiliser du 16mm et s’en sert pour réaliser un film divisé en six parties, ‘Yoman/Journal’.

    Depuis 1973, il a enseigné le cinéma à l’Université de Tel-Aviv.

  • Yann Paranthoën

    Yann Paranthoën est né en 1935 en Brétagne et mort en 2005. Cet artiste, étant fils de tailleur de pierre, est souvent appelé "tailleur de sons". Yann Paranthoën a entendu la radio pour la première fois pendant l'Occupation, c'était Radio Londres. La radio, c'est son destin. D'abord, il était radiste à la marine, puis il oeuvre pendant plus d'une trentaine d'années à la radio "civile". A la Radiodiffusion-télévision française, puis France Inter et France Culture, il est opérateur du son, monteur et, enfin et surtout, auteur d'emissions (de l'Oreille en coin à la Papous dans la tête). Sa production compte une centaine de titres, parmi eux des jalons de l'histoire du documentaire radiophonique, par exemple: Questionnaire pour Lesconil (1980), On Nagra (1987). Il crée également ses propres documentaires.

    Yann Paranthoën ? Son nom symbolise la radio d’art (comme on dit cinéma ou photographie d’art). Il a découvert une manière de raconter le monde par le son, inventant un langage et renouvelant totalement les bases de l’expression radiophonique. Dans ses émissions, la parole est un matériau à sculpter, au même titre que les sons de la vie ou les silences. De même, pour lui, la voix est d’abord une musique avant d’être un sens. En désacralisant l’écrit comme l’image, il a changé l’ordre des choses et renouvelé notre rapport au réel. Prenant ses distances avec la « radio de tous les jours », il comparait volontiers son travail à de la peinture ou encore à la taille du granit comme la pratiquait son père : extraire de la réalité un bloc sonore, le monter comme on taille la pierre, le polir comme on mixe. Voici comment il en parlait : « Je compare la radio avec la peinture. Pour moi, la radio a de plus en plus à voir avec les arts plastiques. Je fais un tableau… un tableau sonore, je répartis les sons comme des couleurs ».
    Sa mort en 2005 a été perçue comme attestant symboliquement l’évanouissement d’une certaine forme de « radio de création » dans sa forme la plus exigeante. C’est pourquoi il était urgent de lui rendre hommage, afin que son œuvre poursuive sa route vers de nouveaux auditeurs, les confortant à préférer à la radio conventionnelle, la souveraine liberté de l’art sonore.

  • Valérie Pavia

    Valérie Pavia est une artiste très active depuis une douzaine d'années sur la scène internationale des arts plastiques. Elle a constamment et avec maturité oeuvré dans le domaine de la vidéo, de la photographie, de la peinture et de l'écriture. Ce que l'on note le plus de son travail, ce sont des portraits : les siens, ceux des autres, mais aussi ceux des villes parcourues. Le mélange de la réalité, de la fiction et de l'autobiographie semble balancer la candeur et la naïveté. A y regarder de plus près certaines oeuvres, il en ressort aussi une cruauté qui confronte le spectateur à des sujets plus intimes et qui révèle une sensibilité et une lucidité peu ordinaires.

  • Jacques Perconte

    Jacques Perconte est un réalisateur de films expérimentaux et un plasticien français né en 1974. Son film Après le feu a fait le tour du monde des festivals.

    Né en 1974 à Grenoble, Jacques Perconte vit et travaille aujourd’hui à Paris après avoir passé une vingtaine d’années dans le Sud-Ouest. Même s'il est reconnu comme l'un des pionniers français de l'art sur internet, c'est avant tout l'un des tout premiers à avoir envisagé la vidéo numérique comme un médium. Au début des années 2000, il ouvre la voie du travail de la vidéo par les codecs (travail sur la compression à contre-sens de l'industrie). Il donne ainsi au numérique une nouvelle dimension picturale.

    « Après le dessin j'ai découvert la peinture puis la vidéo, l'informatique et les réseaux. Je suis passé par les cours du soir des Beaux-Arts, par l'université, par le CNRS. Arts plastiques, cinéma, philosophie, design interactif, systèmes d'information, stratégie d'innovation… J'ai plongé dans le numérique en 1995. »

    Jacques Perconte explore le corps, le paysage et la couleur à travers les supports numériques. Après une entrée en matière très classique par le dessin et la peinture, Internet et la vidéo ont été les grands points de départ. Ses premiers films datent de 1995 et ses premières œuvres internet de 1996-1997. Ses œuvres circulent depuis 1997.

  • Jeffrey Perkins
  • David Perry

    David Perry (né en 1933 à Sydney, Australie) est un photographe et cinéaste australien. Avec Albie Thomas, Aggy Read et autres, il a aidé à établir Ubu Films, nommé d'après la pièce d'Alfred Jarry Ubu Roi, en 1965, qui a servi comme un précurseur de la Co-operative Sydney Réalisateur: premier groupe avant-gardiste de cinéma consciente en Australie.

    Quelques-uns de ses films expérimentals filmés en 16 mm comprennent: ‘Walking’ (1955), ‘The Tribulations of M. Dupont Nomore' (1967), ‘Bolero’ (1967), ‘A Sketch of Abigayl’s Belly' (1968), ‘David Perry’s Album’ (1970),' Adam '(1975), ‘Ubu Films’ (1965-1970) et ‘Refracting Glasses’ (1992).

    Perry utilise différents formats afin de dépeindre son aise et son plaisir de se déplacer d'un média à l'autre, tout en inventant une nouvelle expression esthétique. Comme d'autres artistes de l'image en mouvement, il a travaillé comme peintre, photographe et a développé sa compréhension technique de la photographie comme une imprimante.

    Aux côtés d'autres cinéastes expérimentaux, il se concentre sur un discours anti-art et a poursuivi son intérêt avec le cinéma national de récit. Au début des années 1950, il a commencé à expérimenter avec 8mm. En dépit de son influence en tant que réalisateur, il a rapidement réalisé que son travail était une perte de temps vu que le seul devoir d'un cinéaste était de faire des films de divertissement qui racontaient des histoires banales, dépouillés d’originalité.

    Perry puise son inspiration des cinéastes, tels que: DW Griffith, Carl Theodor Dryer ...

  • Ingo Petzke
  • Henri Plaat

    L'artiste poyvalent néerlandais, photographe et cinéaste Henri Plaat voyageait beaucoup. Né à Amsterdam en 1936, il est passionné par l'histoire et des écritures anciennes. Plaat songeait devenir archéologue. Il est allé en Grèce, au Moyen-Orient, en Inde et en Amérique Latine, où les restes de "sites de l'histoire" le fascinaient. En 1966, Plaat obtient une caméra Eumig. Il commence à faire des courts-métrages qu'évolue en un "hobby éclaté". Il filmait ces lieux et, comme dans ses dessins et tableaux, la réalité était difficile de distinguer du fantasme dans les films de 8 et de 16 mm. Il les définit comme "des films atmosphériques, souvent des photomontages avec des mélanges de sons de guerre, le grondement d'un aéronef, la voix de Zarah Leander, de la musique de Wagner... Tous les éléments pour que l'on obtienne des effets exceptionnaux."

    Plaat a fait une quarantaine de films différents pleins d'éléments de la réalité, parfois de l'absurde, du surréel ou du mélancholique. Il a une passion pour la 2nde guerre mondiale, les voyages, la musique de films et le déclin ralenti des choses. "Je veux enregistrer des lieux et des choses avant qu'ils soient détruits par la modernité et le progrès. Avant qu'ils sont perdus pour toujours."

  • Suzan Pitt

    Se promener à travers l’oeuvre de Suzan Pitt, réalisatrice de films d’animation, c’est prendre part à une cavalcade de bohémiens maquillée en maison de poupée, inondée de couleurs éclatantes et d’une imagerie pleine d’énergie, tout en faisant sortir une musique atonale d’un électrophone de Holly Hobbie. La coqueluche des écoles d’art par excellence; sans prétentions, et pourtant débordant d’une duplicité édifiante. Pitt vous donne envie de glaner dans la vie ce qu’on glane dans son oeuvre. (Alfred Eaker)

  • Sarah Pucill

    Les films et les photographies de Sarah Pucill explorent un sentiment de soi, qui est transformatrice et fluide. Au cœur de sa pratique est un sujet de préoccupation à la mortalité et de la matérialité du processus de réalisation. La majorité de ses films ont lieu dans les accouchements de l'espace domestique, où la réalité à la terre de la maison elle-même devient un portail vers un royaume psychique couches complexe et multi. Dans ses explorations de l'animé et l'inanimé, son travail explore un voyage entre le miroir et la surface, dans lequel les questions de représentation sont négociés par le féminin, le queer ou morts.

    Ses films ont été présentés dans les grands festivals internationaux du film, y compris: Festival du film de Londres, Oberhausen Short Film Festival, Ann Arbor Film Festival, Osnabrück Media Arts Festival, Berlin International Film Festival et Festival du Nouveau Cinéma de Montréal. Les émissions de télévision incluent: BSB TV Australia (miroir Mesure, 1996; acheté par BSB), Carlton Television (Crêpez, 95; financé par Carlton), Granada TV (You be the Mother, 1990).

    Sarah Pucill vit et travaille à Londres et est un lecteur à l'Université de Westminster depuis 2000. Son travail est distribué par les principaux distributeurs internationaux, y compris LUX, Le British Film Institute (BFI), New York Filmmakers Co-op, Canyon Cinema, et Light Cone Paris.

  • Ursula Pürrer

    Ursula Pürrer est actrice et réalisatrice autrichienne, née en 1962 à Vienne. Son film le plus connu, c'est Flaming Ears (Des oreilles brulantes), tourné en 1991. Les sujets de ses films sont: le sèxe, les relations lesbiennes, la pyromanie et les artistes; et les traits: la fantasie, la science fiction, la vitalité, l'anti-romantisme.

  • Les Frères Quay

    Les frères jumeaux identiques Stephen et Timothy Quay sont nés en 1947 à Philadelphie, en Pennsylvanie (Etats-Unis). Ils poursuivent leurs études du graphisme et de l'illustration (Stephen) et du film (Timothy) au Royal College of Art de Londres. C'est là-bas, dans les années 70, qu'ils réalisent leurs premiers courts métrages d'animation à base de marionnettes. Malheureusement, ils n'existent plus à cause du dommage irréparable de la copie originale. Dès leur enfance les frères sont inspirés par Jan Švankmajer, réalisateur d'animation tchèque. Les frères Quay habitent toujours la capitale britannique où, avec le producteur Keith Griffiths, ils ont crée leur maison de production Koninck Studios, sous ce label apparaîssent tous leurs films. Le chef d'oeuvre La rue des crocodiles (1986) s'est inscrit parmi les classiques d'animation. La plupart de ses films n'ont que des petits dialogues, donc ils dépendent beaucoup de la musique. Des nombreuses pièces musicales pour leur animation ont été écrites par le compositeur polonais Jeszek Jankowski. Au cours des années les frères Quay ont travaillé sur des divers projets, comme, par exemple, des décorations pour le théâtre, des productions d'opéra dirigés par Richard Jones (L'amour des trois oranges de Prokofiev, La puce à l'oreille de Feydeau, Mazeppa de Tchaïkovski ou Le Bourgeois gentilhomme de Molière), à la télévision (MTV), pour la publicité (Nikon, Coca-Cola) ou la musique (vidéo-clip pour Sledgehammer de Peter Gabriel). Donc, comme Olivier Séguret a écrit pour le Festival du film de la Rochelle: "Ils sont à cheval sur ce précipice, cet abyme, qui sépare le cinéma en salles de celui dit expérimental." Néanmoins, les frères ne vivent que difficilement de leur art. En 1995, les Quay réalisent un long métrage de fiction Institut Benjamenta. Terry Gilliam, réalisateur de cinéma, scénariste, comédien britannique et membre des Monthy Pyton, le considère comme "le film visuellement le plus beau, le plus envoûtant et le plus drôle qu'[il ait] vu ces trois cent dernières années", et confesse : "Je suis très jaloux".

  • Mark Rappaport

    Mark Rappaport, new-yorkais d’origine, a travaillé comme monteur avant de réaliser ses propres films, parmi lesquels on peut citer The Scenic Route (1978), Impostors (1980), Postcards (1990) et Exterior Night (1994). Ses films-essais incluent Rock Hudson’s Home Movies (1992), From the Journals of Jean Seberg (1995) et The Silver Screen / Color Me Lavender (1998). Nombre de ses articles sur le cinéma ont été publiés dans Trafic au fil des ans, ainsi que dans Cinéma. Le spectateur qui en savait trop est le premier recueil de ses écrits. En 2008, son film fait de photomontages est projeté pour la première fois au Lincoln Center à New-York, dans le cadre du New-York Film Festival. Mark Rappaport vit actuellement à Paris.

  • Man Ray

    Man Ray (né le 27 Août à Philadelphie, États-Unis et décédé le 18 Novembre à Paris, France) était un peintre, photographe, cinéaste et un acteur clé dans le mouvement Dada à New York et le Surréalisme à Paris.

    La carrière de Ray était distinctive de ses collègues parce qu'il a gagné en notoriété tant aux États-Unis et en Europe. Il a commencé dans le centre du modernisme américain dans les années 1910, puis a fait son chemin à Paris dans les années 1920 et 1930, il est ensuite retourné aux États-Unis.

    L'art de Ray variait de peinture, sculpture, cinéma, gravures et de la poésie et était influent dans une variété de différents mouvements, tels que: le cubisme, le futurisme, le dadaïsme et le surréalisme.

    En outre, Ray navigue avec succès dans le monde de l'art commercial et fine, puis devient photographe de mode populaire. Malgré se voir d'abord et avant tout comme un peintre, il est surtout connu pour ses photographies des années de l'entre-deux-guerres, en particulier ses photos de l'appareil-moins qu'il appelait 'Rayographies'.

  • Jackie Raynal

    Jacky Raynal est réalisatrice, actrice et monteuse française. Elle est née en 1940 dans la région de Montpellier. La cinéaste est diplômée en Lettres. Dès les années 60, la jeune photographe Jacky Raynal entre dans le domaine du cinéma. Elle est assistante monteuse sur les documentaires de G. Patriss et F. Vienne. Puis, elle monte les films d'E. Rohmer. En 1965, J. Raynal obtient la carte de chef monteuse de long-métrage auprès du CNC. Maintenant, elle travaille avec les cinéastes de la Nouvelle Vague. Entre autres, elle monte les six sketches de Paris Vu par..., réalisé par Jean Douchet, Jean Rouch, Jean-Daniel Pollet, Eric Rohmer, Jean-Luc Godard et Claude Chabrol. Jacky Raynal continue travailler dans le montage jusqu'à la fin des années 70.

    En 1968, avec S. Boissonas et O. Mosset, elle fonde le groupe Zanzibar. Elle collabore avec Philippe Garrel, Serge Bard, Daniel Pommereulle, Alain Jouffroy et Patrick Deval. J. Raynal tourne son premier long-métrage Deux Fois à Barcelone. En 1972, le film remporte le Grand Prix au Festival d'Hyères/Toulon. Alors, elle habite New York. Là-bas, entre 1975 et 1992, elle assure la programmation du Carnegie Hall Cinema et du Bleeker Street Cinema. Elle y distribue de nombreux films indépendants internationaux. Son travail à New York est apprécié par Truffaut (il le compare avec la Cinémathèque française) et recompensé deux fois par le Village Voice en 1981 et 1991.

    J. Raynal réalise New York Story (Grand Prix à Melbourne) et Hotel New York. En même temps, elle joue dans plusieurs films, elle organise de nombreux festivals internationaux du cinéma, comme le Colombian Film Festival, Israël Film Festival ou Avignon Film Festival. De 1973 à 1986, avec Sid Geffen, ils publient la revue sur le cinéma indépendant international 1000 Eyes Magazine.

    A partir de 2000, Jacky Raynal réalise de nombreux documentaires, comme Notes sur Jonas Mekas (2000) ou Eric Rohmer, cinéaste (2010).

    En 2010, Jacky Raynal reçoit pour son oeuvre globale dans les arts la Légion d'Honneur (Chevallier dans l'Ordre des Arts et des Lettres).

  • Joost Rekveld

    Joost Rekveld (1970) est un artiste et cinéaste expérimental néerlandais. Depuis 1991, il réalise des films abstraits et des installations lumineuses. À ses débuts, il travaillait intensément avec le support de film, expérimentant tous les aspects du processus, de l’impression à la manipulation en passant par le développement des images. En 1994, il utilisait déjà un ordinateur pour réaliser un film d'animation en écrivant son propre logiciel. une pratique à laquelle il est revenu plus tard dans sa carrière.

    Ses œuvres témoignent d'une compréhension intime et incarnée de notre monde technologique. Ils sont profondément inspirés par la science et la technologie et par le dialogue systématique entre l'homme et la machine. En explorant les divers aspects spatiaux et sensoriels de la projection de la lumière, ses œuvres sont intrinsèquement liées aux débuts de l'optique et de la perspective et peuvent, à bien des égards, être comprises comme un type de musique visuelle. Ses films d'animation sont souvent des compositions mécaniques dans lesquelles l'ordinateur agit en tant que contrôleur, en orchestrant le mouvement précis de chaque élément optique du film ou de l'installation.
    -eyefilm.nl

  • Jürgen Reble

    J. Reble est né en 1956 à Düsseldorf, en Allemagne. Dans les années 70 et 80 Jürgen Reble était membre du groupe Schmelzdahin. Au début des années 80 il a commencé à faire ses propres projets de cinéma. Le performance et l'instalation naissaient souvent du developpement manuel des films utilisant l'influence méchanique et chimique et la reconstruction des appareils cinématographiques. Depuis 1992 il collabore avec l'artiste du son Thomas Köner dans les domaines du cinéma, de l'instalation et du performance. Ses oeuvres ont été exposées au MoMA, dans la Salle de l'Auditorium du Louvre, au Musée des Films à Amsterdam, au Centre d'art Walker à Minneapolis. En 1997 il a reçu une bourse de la Fondation d'art de Bonn. Jürgen Reble habite et travaille à Bonn, en Allemagne.

  • Ron Rice
  • Nicolas Rey

    Nicolas Rey est un cinéaste français, né en 1968 (ne pas confondre avec Nicolas Ray, réalisateur américain). Depuis 1993, Rey filme souvent en pellicules périmées Super-8 ou 16mm. En 1995, il participe à la création de L'Abominable, un atelier collectif à Paris où se fait le dévelopement et le tirage de films. Ses deux premiers films, le court métrage Terminus for You (1996) et Opera mundi ou le temps des survêtements (1999), sont 16mm en noir et blanc. Dans le troisième film Les Soviets plus l'électricité, réalisé en 2001, qui est Super-8 gonflé en 16mm, son premier long métrage (170 min.) et où il retrace son père communiste, Nicolas Rey découvre la couleur. Selon Christa Blümlinger, critique de cinéma et d'art contemporain, Rey "renouvelle ainsi les traditions artistiques et artisanales du cinéma, trouvant dans des techniques et des matériaux anciens l’occasion d’un renouveau plastique, ce film se trouve opérer une sorte de réconciliation des deux avant-gardes, longtemps séparées et s’ignorant mutuellement : celle du cinéma expérimental, issue du milieu des arts plastiques et venant de New York, et celle qui s’est formée en Europe, à la suite du cinéma moderne d’après-guerre, et qu’on pourrait appeler essayiste." Puis, Nicolas Rey s'intéresse au déclin de l'économie et de l'industrie et réalise Schuss! (2005), tourné dans les vallées des Alpes. Son dernier film Autrement, la Molussie (2012), adapté d'un livre de contes sur le fascisme de Günter Anders, est noté plusieurs fois: il est sélectionné à la Berlinale (Forum Expanded), il remporte le Grand Prix au festival Cinéma du réel à Paris, il entre en compétition à Bruxelles pour le Prix de l'Âge d'or.

  • Hans Richter

    Hans Richter (né en 1888 à Berlin en Allemagne - mort en 1976 à Locarno en Suisse) était peintre, sculpteur et l'un des plus importants cinéastes d'avant-garde. Il étudie en Allemagne et cherche son voie artistique entre l'expressionnisme et le cubisme. En 1916, il devient membre du groupe Dada à Zurich, où il découvre l'ésprit de révolte et l'abstraction. Dès 1920 il commence ses recherches sur des rythmes abstraits s'animant, d'abord en peignant sur rouleau. L'année prôchaine il réalise son premier film Rhythmus 21 suivi d'autres sur le même sujet. En 1941 il s'exile aux Etats-Unis pour se donner à l'enseignement et au cinéma. Il est naturalisé américain. Entre 1944 et 1947 il réalise ce que par la suite devient l'un des classiques du cinéma surréaliste: Rêves à vendre. Il collabore avec Marcel Duchamp, Man Ray, Max Ernst, Fernand Léger, Alexander Calder. Ses propres éléments biographiques et ses vues idéologiques jouent un rôle important dans son oeuvre.

  • Jay Rosenblatt

    James Rosenblatt est cinéaste américain reconnu au niveau international depuis 1980 et il a achevé plus de 25 films. Son oeuvre recherche nos fonds psychologiques et émotionnaux. Ils sont personnaux par leur contenu cependant universaux par leur appel.

    Ses films ont été recompensés par plus de 100 prix et ils ont été projetés à travers le monde. Une selection de ses films a sortie en salles du Film Forum à New York et d'autres cinémas aux Etats-Unis. Ses films les plus récents ont été projetés pendant une semaine au MoMA.

    La plupart de ses films a été projeté au Sundance Film Festival, HBO/Cinémax, Independent Film Channel et Sundance Channel. 

    Jay Rosenblatt a reçu plusieurs bourses, notamment Guggenheim, USA Artists et Rockefeller.

    Jay Rosenblatt est originaire de New York, mais il habite San Francisco depuis longtemps. Depuis 20 ans il est professeur de production film et vidéo dans divers écoles dans la baie de San Francisco, y compris l'université Stanford, l'université de l'état de San Francisco et l'Institut d'art de San Francisco. Maintenant Jay Rosenblatt est directeur de programme du Festival juif de film de San Francisco. Il a un master de la psychologie du counselling et, avant, il a travaillé comme thérapeute.

  • Peter Rose

    Depuis 1968, Peter Rose a fait plus de trente films, performances et installations. Beaucoup des premiers travaux soulèvent des questions intéressantes sur la nature du temps, l'espace, la lumière, et de la perception et de tirer parti de l'arrière-plan de Rose en mathématiques et sur l'influence des cinéastes structuralistes. Il est ensuite devenu intéressé par la langue comme matière et dans la vidéo comme un moyen et généré un ensemble considérable de travaux qui a joué avec la sensation et la forme du sens, des textes concrets, satire politique, la performance excentrique, et une sorte de comédie intellectuelle. Installations vidéo récentes ont impliqué un retour à un examen de paysage, temps, et de la vision. Rose a été largement exposé, à la fois national et international, a été incluse dans des expositions au Musée d'Art Moderne, la Biennale du Whitney, le Centre Pompidou, le Musée d'art de Philadelphie, la Film Society du Lincoln Center, et le Festival International du Film de Rotterdam . Il a reçu des bourses par le National Endowment for the Arts, la Fondation Guggenheim, la Fondation Pew, la Fondation de l'Indépendance, et le Conseil de Pennsylvanie sur les arts, et est friands de descriptions d'écriture à la troisième personne.

  • Ken Paul Rosenthal

    Ken Paul Rosenthal est un cinéaste indépendant primé, photographe, éducateur et activiste. Ses films sont oeuvres d'art visuellement sensuels et émotionellement intelligents qui fonctionnent aussi comme des outils de la transformation personnelle et sociétale. Il a reçu le prix Kodak Cinematography Award, des prix de nombreux festivals et il est reconnu pour son travail des médias dans le domaine de défense de la santé mentale. Il est maître ès arts créatifs et interdisciplinaires et maître ès beaux arts en production du cinéma. K. P. Rosenthal a enseigné le cinéma comme moyen de cultiver une vision personnelle dans des atéliers et des universités en Amérique du Nord et à l'étranger. Actuellement il travaille en réalisation des documentaires poétiques sur la santé mentale dans lesquels on apprend des histoires personnelles et politiques à travers des paysages naturels et urbains, des vidéos amateurs et des films archivés sur l'hygiène mentale. Son film Crooked Beauty a été invité aux 35 festivals du cinéma, il a gagné 16 prix et il a été présenté en personne dans des douzaines de réseaux de soutien par les pairs, des hôpitaux, des universités, des colloques de santé mentale et des rencontres cummunautaires à travers le monde. Plus de 2.500 dvds de Crooked Beauty ont été distibués, y compris 160 bibliothèques académiques.

  • Martine Rousset

    Martine Rousset est une cinéaste française. Elle est né en 1951 à Montpellier. M. Rousset a étudié la philosophie et le cinéma à l'Université Paul Valéry de Montpellier. Elle crée des films indépendants depuis 1977. Elle expérimente les relations du texte écrit et de l'image cinématographique. A partir de 1978, Martine Rousset travaille au département audiovisuel du Musée d'art moderne de Paris.

  • Jean Painlevé
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