Le Critique Filmeur

- Le Départ d'Eurydice, 1969-2016 (nouvelle musique: Jonathan Levine), mono, n&b, 11', 4:3

- Prétextes, 1971-2016 (nouvelle musique: Jonathan Levine), mono, n&b, 13', 4:3

- Lucy en miroir, director's cut, 2003-2005, stéréo, n&b et couleur, 45', 16:9

+ Les Deux Lucy, making-of, 2003, Michel Amarger & Frédérique Devaux, stéréo, couleur, 18', 4:3

+ Signature au Ciné Reflet, 2014, Viviane Vagh, stéréo, couleur, 35', 16:9

"Ainsi ce Christ en croix, grossièrement sculpté, procure tout de même un malaise. Tout comme la gestuelle possédée de ce gourou devient inquiétante à force d'outrance. Cette poupée qu'il démembre ne dissimule-t-elle pas, sous ses airs dérisoires, de véritables maléfices ? Car les mythes attendent qu'on les rejoue pour nous couler dans un destin."

- Stéphane de Mesnildot, sur Le Départ d'Eurydice (2003)

"A l'origine de Prétextes, des essais pour un long-métrage jamais tourné. Dans ces fragments, arrachés à la vie intérieure d'un couple, ce n'est pas la psychologie qui définit l'homme et la femme, mais l'ordonnance de symboles primitifs, d'archétypes."

- Stéphane de Mesnildot, sur Prétextes (2003)

"Amateurs de narration classique, passez votre chemin. Lucy en Miroir nous parle d'attirance et de vertige, de spleen et de peur, de bonheur et de solitude. Ce n'est ni un exercice de style ni un essai théorique, ni un poème visuel. C'est, tout simplement, un film nécessaire."

- Jean-Pierre Bouyxou, sur Lucy en miroir (2005)

Raphaël Bassan, Lucy en Miroir (Excerpt) from Collectif Jeune Cinema on Vimeo.